Blake Ludwig Buckley

Une grande perche. C'est la première chose qu'on voit chez lui. Du haut de son mètre quatre-vingt, il domine sans peine la plupart des gens, ce qui se révèle très pratique quand il s'agit de jouer son numéro de grand méchant...ou pour faire les poussières. Bien qu'il paraisse plutôt mince, le jeune homme cache une musculature assez développée dont il est très fier -dur labeur, dit-il..-. Un Démon se doit d'être puissant, aussi musculairement qu'intellectuellement, comme il aime le répéter. Sur le plan musculaire, c'est réussi. Sur le plan intellectuel, c'est aussi réusis mais moins flagrant, avec sa fâcheuse manie à dire n'importe quoi. Bah ouais, c'est une grande gueule.
Il a une peau pâle et sa chevelure brune tirant sur le noir est indomptable, ce qu'il fait qu'il n'essaie même plus de la coiffer, laissant les mèches partir dans tous les sens. Et bien entendu, l'eau n'arrange jamais les choses... elle les fait même empirer et Blake se retrouve avec une tête de hérisson. Un conseil, évitez de lui balancer de la flotte au visage, si vous tenez à vivre. Il aime se teindre les cheveux et il n'est pas rare de le voir avec une tenture bleu flashy ou blond. Il pourrait faire infiltreur, notre p'tit caméléon. Il possède un visage aux traits angéliques, que ses prunelles violettes rehaussent. Ah... ses yeux. Ils changent de couleur, phénomène inexpliquable, passant du violet au rouge en passant par le bleu. Son nez fin surmonte sa bouche bien dessinée, affichant un petit sourire narquois ou un rictus méprisant, suivant son humeur et votre position dans son carnet relationnel... Blake est un grand sportif mais il n'est pas très endurant, ce qui constitue pour lui un horrible point faible. Point de vue vestimentaire, le jeune homme aime s'habiller dans des tons noirs et bleus qui rehaussent la pâleur naturelle de sa peau. Parfois, quand il en envie de faire c***r son monde, il s'habille avec des couleurs flashy, histoire de se faire bien remarquer. Il ne porte que rarement son uniforme de policier, qu'il trouve "trop formel et pas assez distingué".
Il possède un tatouage sur la main et des pierreries incrustées dans sa peau. Il ignore la provenance de ces-dernières et il lui semble les avoir toujours eues. De temps à autres, elles disparaissent. Le tatouage, lui, est le scellé d'une malédiction. Son dos est couturé d'un réseau de fines cicatrices, souvenir cruel et douloureux de son enfance.